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A l'aide du pied de biche déniché chez votre voisin (Sacré Oswald !), rompez le cadenas de la maison abandonnée située au sud-ouest de la déchetterie. Entrez, le titre du mystère s'affiche.

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La maison

qui n'en finissait pas

 

Vous arrivez dans un salon / salle de billard. Vous repèrerez assez vite une trappe dissimulée dans la moquette. Accrochez-y l'échelle de corde trouvée chez Jacques Lamy (Le grand cru). Descendez dans le sous-sol et sortez dans la pièce adjacente.

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Vieilles mécaniques

dans mon quartier - créé par Nils Chertier - 2016 ©


Avec le roi des chats (La maison des chats), entrez dans le conduit et accédez à la pièce sombre. Elle s'éclaire. Actionnez le levier face à vous pour allumer la lumière. Accédez ensuite à l'étage en prenant l'escalier. Vous arrivez dans une chambre à motifs d'illusions optiques. Une peluche du renard du petit prince vous dit : "On ne voit bien qu'avec le coeur, l'essentiel est invisible pour les yeux." Il s'agit d'une énigme beaucoup plus terre à terre qu'il n'y paraît, un passage secret est simplement caché dans l'un des murs de la pièce. Il donne sur une salle de bal.

 

Aux murs de cette salle, les portraits de Moussorgski, Satie, Debussy et Chopin. Faites jouer l'une de leurs oeuvres par le lecteur de vynils pour qu'une échelle en bois descende du plafond. Trois des quatre vynils se trouvent dans l'étagère du squat (Huis-clos).

 

Vous arrivez dans un petit vestibule dont la première porte est déjà fermée et les autres pièces invisibles dans un premier temps. Voilà qui donne le la : vous n'explorerez cette maison que petit à petit, au gré de vos trouvailles et après avoir débloqué plusieurs capacités. La serrure du petit vestibule doit être crochetée par le roi des rats (Les rats).  

 

Vous vous trouvez à nouveau coincé dans une petite pièce. La porte suivante est fermée mais ne possède pas de verrou. Il vous faudra la débloquer à l'aide d'un truc de serrurier : utilisez sur la porte une radiographie récupérée dans un meuble de la chambre de Jacques Lamy en son absence (accessible à la nuit tombée, ou bien après lui avoir apporté son colis). La porte s'ouvre.  

Dans le petit bureau, poussez le tabouret pour débusquer un levier. La pièce suivante est une piscine. Octave en combinaison de pêche entrera aisément dans l'eau, et pourra passer par le petit conduit.

 

Le conduit débouche sur un jardin intérieur, une sorte de chambre sur laquelle la végétation aurait repris le dessus. Au fond de la pièce, un mécanisme à encoche n'attend que votre levier pour fonctionner. Placez le levier dans le mécanisme et actionnez-le (une fois).

 

Redescendez au premier étage : une nouvelle pièce vient de s'ouvrir. Il s'agit d'une salle de bain, sur le sol de laquelle quelque chose est écrit. Octave ne peut pas le lire : il vous faudra de nouveau aller chercher Anton pour le déchiffrer.

 

Il s'agit en fin de compte d'une suite de chiffres... bien mystérieuse ! Elle se réfère sans doute à des éléments de la maison, mais lesquels ? Retournez au rez-de-chaussée, et rendez-vous dans la seule pièce n'ayant pas encore livré son secret : les toilettes. Après un petit pissou dans le premier urinoir que vous utiliserez, Anton / Octave n'active plus que les chasses d'eau. Activez les chasses d'eau dans l'ordre indiqué dans la salle de bain secrète, finissez par activer la douche (le numéro 5 dans la suite de chiffres). Une nouvelle porte s'ouvre...

 

Dans ce nouveau couloir, une palpitation discrète se fait entendre, suivez-le jusqu'au bout, et franchissez la dernière porte de la maison. 

 

Au centre d'une pièce immaculée palpite un énorme coeur : un sanctuaire que la maison cachait avec beaucoup de précaution. Le(s) personnage(s) est/sont subjugué(s), le mystère est maintenant résolu... Il est temps de dérouiller de vieilles mécaniques !

 

Vous y trouverez une combinaison de pêche pour Octave : il pourra désormais traverser les zones inondées. La pièce suivante est plongée dans le noir, et seul le roi des chats peut y entrer.

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